Contexte : L’attaque frontale du député-maire socialiste Pascal Cherki contre le Président de la République, François Hollande, rétrogradé à la fonction de conseiller général d’un canton.
Deux hypothèses peuvent expliquer la nouvelle sortie médiatique extravagante du cumulard Pascal Cherki, député-conseiller général-maire du 14ème :
1. Soit Pascal Cherki est frappé par un éclair de lucidité sur le manque de clarté et de vision de la politique menée par François Hollande ;
2. Soit, plus probablement, Pascal Cherki persiste dans son rapprochement idéologique vers le Front de Gauche. Jean-Luc Mélenchon a déjà franchi, en son temps, le Rubicon en démissionnant du Parti socialiste pour réaliser une OPA sur le Parti communiste. Tout porte à croire que Pascal Cherki souhaite le rejoindre dans l’eldorado de la démagogie, de la politique protestataire et anti-européenne. Des signes avant-coureurs existaient avec son admiration sans limite de Che Guevara, Fidel Castro et Hugo Chavez. La semaine dernière, Pascal Cherki était l’un des rares personnages politiques à prendre la défense de Jean-Luc Mélenchon suite à ses dérapages honteux à l’encontre de Pierre Moscovici. Avec son invective contre François Hollande, Pascal Cherki accélère le rythme, sans doute pressé de fuir un Parti socialiste dans lequel il se sent trop à l’étroit.
Il nous appartient aussi de dénoncer avec force ses références aux « égoïsmes nationaux » et au diktat français. Ces propos sont dangereux et indignes d’un élu de la République. Pascal Cherki est familier des comparaisons historiques douteuses puisqu’il avait déjà comparé dans un tweet Nicolas Sarkozy à Hitler lors de la dernière campagne présidentielle.