Philippe Péjo

A propos Philippe Péjo

Né à Paris en 1968, Philippe Péjo vit et travaille à Paris. Fonctionnaire parlementaire, universitaire, ancien conseiller ministériel, ancien collaborateur de Jacques Chirac maire de Paris, il est conseiller du Président du Parti Radical (Jean-Louis Borloo), membre du Bureau national, vice-président de la commission des affaires étrangères et européennes en charge de la francophonie. Conseiller du Président de la Fédération de Paris (Patrice Gassenbach) et membre du Bureau exécutif, Philippe Péjo préside le Comité radical du 14ème arrondissement.

Communiqué : Philippe PEJO apporte son soutien à Jean-Pierre LECOQ pour faire barrage à l’alliance Gauche-Extrême Gauche dans la 11e circonscription de Paris

A l’issue du 1er tour de l’élection législative dans la 11ème circonscription de Paris, Jean-Pierre LECOQ et Philippe PÉJO, candidats respectifs de l’UMP et du Parti Radical s’allient pour le second tour. Dans cette perspective, ils rappellent leur attachement à un certain nombre de principes qui forment le socle prioritaire du programme commun à leurs deux formations :

– Le renforcement du pacte républicain et des valeurs fondamentales de la République au premier rang desquelles la laïcité ;

– La maîtrise des déficits publics et la réforme de l’Education Nationale, qui doivent être au centre de nos préoccupations ;

– Une politique du logement audacieuse intégrant un nouveau plan de rénovation urbaine prolongeant l’action entreprise par Jean-Louis BORLOO et prenant mieux en compte la garantie des risques locatifs ;

– La mise en Å“uvre de mesures humanistes permettant dans tous les domaines d’assurer le respect de la dignité humaine, que ce soit dans la vie privée ou professionnelle.

Philippe PÉJO déclare : « La gauche alliée avec l’extrême gauche ne pourra pas réaliser ses promesses électoralistes. Voter Pascal Cherki est donc un leurre. Seule une droite moderne qui s’appuie sur le Parti Radical pourra mettre en œuvre un programme cohérent de relance économique tout en replaçant l’humain au cœur de l’urbain. J’appelle les électeurs qui m’ont accordé leur confiance à voter dimanche 17 juin pour Jean-Pierre Lecoq, engagé à défendre les valeurs et le programme du Centre et de la Droite républicaine, humaniste et sociale ».

 

L’appel de la Gaîté Montparnasse : point de départ de la reconquête de Paris

Paris, le  5 juin 2012 – L’ensemble des candidats du Parti Radical aux élections législatives à Paris s’est réuni ce dimanche 3 juin, au Théâtre de la Gaîté Montparnasse, dans le 14ème arrondissement. A cette occasion, Philippe Péjo, candidat dans la 11ème circonscription de Paris (6ème et 14ème arrondissements), a lancé un appel pour l’alternance dans le 14ème et à Paris. Cet appel sonne le point de départ de la reconquête de Paris. Continuer la lecture

Presse : « Paris Tribune : Militants : Mobilisation comparée dans la 11e circonscription de Paris »

« A J-7 du 1er tour des élections législatives, à Alésia le dimanche 2 juin 2012 de 11h à 12h, le résultat parle de lui-même : les militants de Pascal Cherki sont davantage mobilisés pour tracter pour faire gagner leur candidat, suivis par les militantes de Philippe Péjo et enfin par celle de Jean-Pierre Lecoq. »
>> Lire l’article intégral sur le site Paristribune.info

Presse : « Citizenside.com : Rama Yade soutient la candidature de Philippe Péjo à Paris »

Rama Yade, vice-Présidente du Parti Radical et candidate aux législatives de la 2e circonscription des Hauts-de-Seine, était l’invitée d’honneur d’une réunion publique de soutien à la candidature de Philippe Péjo dans la 11e circonscription de Paris, organisée le 28 mai 2012 à l’Entrepôt, dans le 14e arrondissement de la capitale.

>> Consulter l’article et les photo sur le site Citizenside.com

La France lance un mauvais signal à l’Europe

Ce soir, le nouveau gouvernement de la France est nommé. Il sera apprécié ou critiqué sur ses actes. Le programme présidentiel est connu. S’il est appliqué, il ne sera pas bon pour la France. Les prochaines élections législatives en décideront.

Au sein de ce gouvernement, Laurent Fabius devient numéro deux, en qualité de « Ministre des affaires  étrangères » et non pas « Ministre des affaires étrangères et européennes » comme ses prédécesseurs. Ce retour à une dénomination passée n’est pas neutre. Les affaires européennes redeviennent donc des affaires étrangères : un signal négatif regrettable à l’endroit de nos partenaires européens, en pleine crise inégalée de la dette européenne.  Continuer la lecture